Présentation de l’éditeur :
Comme si sa vie n’était pas assez chaotique ! Entre les cours, l’examen du barreau qui approche dangereusement et sa relation avec Kyle qui bat de l’aile, Charlotte n’avait vraiment pas besoin d’une complication supplémentaire. Mais l’enveloppe est arrivée. Une enveloppe au papier crème épais, tamponnée d’un blason sophistiqué et reconnaissable entre mille. A l’intérieur ? Une invitation pour une soirée de retrouvailles entre lycéens diplômés de la promo 2005. Alors, les souvenirs ont afflué, la douleur s’est réveillée et son cœur, ce pauvre organe qu’elle croyait guéri, s’est gonflé d’un espoir coupable. Jérémiah… Son amour de jeunesse, un amour aussi intense et passionné qu’éphémère. Dix ans plus tard, osera-t-elle prendre le risque de le revoir ?
Mon avis :
Vous connaissez suffisamment mon blog (pour celles et ceux qui passent régulièrement) pour savoir que j’aime la chick lit et la romance. Et pourtant, je ne m’étais encore jamais laissée tenter par Emily Blaine, une auteure Harlequin (HQN plus précisément) dont on parle énormément.
Je ne vais pas vous faire attendre : je déteste Emily Blaine. Elle fait partie de ces auteurs qui tentent de nous rendre accros à leur série, pour mieux dévorer les saisons suivantes, et elle réussit l’exercice avec brio.
Dans ce premier épisode, le décor est planté : Jérémiah et Théo sont deux frères issus d’une famille riche. Ils préparent un grand rassemblement pour les lycéens diplômés de la promo 2005. L’ambition de Jérémiah est clairement indiquée : reconquérir Charlotte.
Charlotte est une étudiante brillante, qui prépare l’examen du barreau pour devenir avocate. Elle est en couple avec Kyle, mais leur relation n’est pas au beau fixe.Quand elle reçoit, avec ses amies, l’invitation pour la soirée organisée dans la demeure de Jérémiah, des souvenirs remontent, plus ou moins douloureux. Va-t-elle accepter de si rendre ?
Un premier épisode bien écrit, intéressant, qui met l’eau à la bouche et augure de beaux rebondissements pour la suite !
Et bonne nouvelle ! Vous pouvez le lire gratuitement, ici !
PS : Je précise que c’était ironique quand j’ai écrit « je déteste Emily Blaine » ?